Archives 2019-2020

 

Vendredi 13 septembre à 21h

Sur les plages d’Agnès

 

d’Agnès Varda

Documentaire | France | 2008 | 1h50

Avec Agnès Varda, Yolande Moreau, Mathieu Demy

 

En revenant sur les plages qui ont marqué sa vie, Varda invente une forme d’autodocumentaire. Agnès se met en scène au milieu d’extraits de ses films, d’images et de reportages. Elle nous fait partager avec humour et émotion ses débuts de photographe de théâtre puis de cinéaste novatrice dans les années cinquante, sa vie avec Jacques Demy, son engagement féministe, ses voyages à Cuba, en Chine et aux USA, son parcours de productrice indépendante, sa vie de famille et son amour des plages. Une femme libre et curieuse !

« Elle nous offre, à sa manière ludique et poignante, une leçon de cinéma. D’un rien, elle fait une œuvre. On se glisse donc avec délice dans l’ombre de cette dame malicieuse, amoureuse de la vie et du cinéma »  Première

« Le biopic a trouvé son maître : Agnès Varda, la seule qui en soit à la fois le sujet et l’auteur »  Télérama

« C’est une pure merveille, une entreprise qui devrait être immodeste et qui se révèle d’une prégnante pudeur et d’une constante richesse »  Marianne

 


Vendredi 27 septembre à 21h

Citoyen d’Honneur

 

de Mariano Cohn et Gastón Duprat

 

Comédie dramatique | Argentine | 1h58 | 2017 | VOST

 

Avec Oscar Martinez, Dady Brieva, Andrea Frigerio

 

 

 

L’Argentin Daniel Mantovani, lauréat du Prix Nobel de littérature, vit en Europe depuis plus de trente ans. Alors qu’il refuse systématiquement les multiples sollicitations dont il est l’objet, il décide d’accepter l’invitation reçue de sa petite ville natale qui souhaite le faire citoyen d’honneur. Mais est-ce vraiment une bonne idée de revenir à Salas dont les habitants sont devenus à leur insu les personnages de ses romans ?

 

 

« Où finit la caricature, où commence la vie ? Citoyen d’honneur se tient dans cette ambivalence qui rappelle la grande comédie italienne, féroce et burlesque, grinçante et indulgente. Avec, au sommet, l’excellent Oscar Ramirez, justement récompensé par le prix d’interprétation à la dernière Mostra de Venise » Le Figaro

« C’est toujours drôle, souvent irrésistible, parfois à la frontière du cauchemar éveillé. C’est aussi plus compliqué que ça, et le doute que le film instille fait le prix de Citoyen d’honneur. Une révélation délectable, avec un art du contre-pied hautement réjouissant. A découvrir sans attendre »  Le Nouvel Observateur

 


 

Vendredi 11 octobre à 21h

La Favorite

de Yórgos Lánthimos

Drame historique | Etats-Unis – Angleterre – Irlande | 2018 | 2h | VOST

Avec Olivia Colman, Rachel Weisz, Emma Stone, Nicholas Hoult

 

  Début du XVIIIème siècle. L’Angleterre et la France sont en guerre. Toutefois, à la cour, la mode est aux courses de canards et à la dégustation d’ananas. La reine Anne, à la santé fragile et au caractère instable, occupe le trône tandis que son amie Lady Sarah gouverne le pays à sa place. Lorsqu’une nouvelle servante, Abigail Hill, arrive à la cour, Lady Sarah la prend sous son aile, pensant qu’elle pourrait être une alliée…   

« Porté par un génial trio d’actrices, un biopic

élégant et cinglant, qui se mue en une grande tragicomédie perverse et mémorable »  Les Fiches du Cinéma

« Une farce incorrecte qui réduit en confettis les archaïsmes du film en costumes » Marianne

« Un bijou noir à la cruauté réjouissante, où fond et forme se répondent enfin » Sud Ouest

« Yórgos Lánthimos réunit à l’écran trois superbes actrices pour un film en costumes aussi croustillant qu’acide »  Elle

« Un huis clos explosif, aussi cru que raffiné »  Télérama

«Drôle et délicieusement méchante, « La Favorite » fait partie de ces films historiques qui échappent au piège de l’académisme, grâce à une profusion de trouvailles scénaristiques et esthétiques » L’Express

 

A l’issue de la projection : Assemblée Générale Annuelle du Ciné-Club

 


Vendredi 18 octobre à 21h

Hugo Cabret 

 

de Martin Scorsese

 

Aventures | Etats-Unis | 2011 | 2h08 | VOST

 

Avec Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Ben Kingsley, Jude Law

Dans le Paris des années 30, le jeune Hugo est un orphelin de douze ans qui vit dans une gare. Son passé est un mystère et son destin une énigme. De son père, il ne lui reste qu’un étrange automate dont il cherche la clé – en forme de cœur – qui pourrait le faire fonctionner. En rencontrant Isabelle, il a peut-être trouvé la clé, mais ce n’est que le début de l’aventure… 

« Les grands films sont souvent ceux qui donnent vie à un monde. Tel est le cas de celui-ci : le film devient un étourdissant ballet entre réalité et cinéma »  Positif

« Hugo Cabret fait le lien entre cinéma d’hier et d’aujourd’hui. Scorsese nous parle de l’émerveillement inventé et réinventé par le cinéma. Il nous assure que, de Méliès à aujourd’hui, la magie ne s’est pas perdue. Et on n’a qu’une envie : lui dire merci »  Télérama

« Le bel hommage de Martin Scorsese au grand réalisateur français Georges Méliès qui ouvrit la voie au cinéma de l’imagination et du rêve »  Ouest France

 

 


Vendredi 22 novembre à 21h

Parvana, une enfance en Afghanistan

avec  Amnesty International

 

de Nora Twomey

 

Animation | Canada – Irlande – Luxembourg | 2017 | 1h33 | VOST

 

En Afghanistan, sous le régime taliban, Parvana, onze ans, grandit à Kaboul ravagée par la guerre. Elle aime écouter les histoires que lui raconte son père, lecteur et écrivain public. Mais un jour, il est arrêté et la vie de Parvana bascule à jamais. Car sans être accompagnée d’un homme, on ne peut plus travailler, ramener de l’argent ni même acheter de la nourriture.Parvana décide alors de se couper les cheveux et de se travestir en garçon afin de venir en aide à sa famille. Risquant à tout moment d’être démasquée, elle reste déterminée à trouver un moyen de sauver son père. Parvana est un conte merveilleux sur l’émancipation des femmes et l’imagination face à l’oppression. 

« Un conte réaliste et émouvant sur la condition de la femme »  Le Figaro

« Cette magnifique chronique de la répression religieuse extrémiste en Afghanistan se révèle à la fois douloureuse, tendre et pleine d’espoir »  Le Parisien

« Ce film hors normes confirme que l’animation donne parfois d’excellentes raisons de s’enthousiasmer »  Marianne

« Malgré une narration parfois légèrement balisée, impossible d’oublier le visage de la jeune Parvana, héroïne d’une fable universelle faisant puissamment écho à toutes les guerres et tragédies qui continuent à ravager la planète »  Première

« Signé par une Américaine et coproduit par Angelina Jolie, ce film confirme, après Persepolis et Téhéran Tabou, que la critique des régimes islamiques passe plus facilement par le cinéma d’animation »  Le Nouvel Observateur

« Entre conte et naturalisme, un film pudique et toujours juste qui fait de l’imaginaire une arme redoutable contre l’obscurantisme religieux » Les Inrockuptibles

« Le talent de la cinéaste – qui sait puiser dans le patrimoine graphique et plastique de l’univers de ses personnages – et la rigueur du scénario, inspiré d’un roman de la Canadienne Deborah Ellis, oeuvrent à la réussite du projet »  Le Monde

« Dans un Kaboul où la lumière chaude est légèrement ternie, le dessin, simple et élégant, installe une fable tendre et humaniste qui ose la dureté des traits pour souligner l’angoisse des personnages et la délicatesse réconfortante de séquences en papier découpé à la mode orientale »  Le Journal du Dimanche

« Une pépite d’enchantement face à l’horreur »  Femme Actuelle

 


Vendredi 10 janvier à 21h

SORCERER
(LeConvoi de la Peur)

 

de William Friedkin

Aventures | Etats-Unis | 1977 2h01 | VOST

Avec Roy Scheider, Bruno Cremer, Francisco Rabal

 

Quatre étrangers de nationalités différentes, chacun recherché dans son pays, s’associent pour conduire un chargement de nitroglycérine à travers la jungle sud-américaine… Un voyage au cœur des ténèbres…
 Sorcerer est le remake du film français Le Salaire de la peur d’Henri-Georges Clouzot sorti en 1955 qui réunissait notamment Yves Montand et Charles Vanel. Comme dans le film original, celui de William Friedkin prend appui sur le roman du même nom écrit par Georges Arnaud.  Ambitieux, captivant et visionnaire, Sorcerer est le film le plus personnel de William Friedkin. Cette fable hallucinée raconte la mission suicidaire de quatre exilés qui acceptent une grosse somme d’argent pour transporter des camions chargés d’explosifs à travers la jungle, afin d’éteindre un puit de pétrole. Après un tournage catastrophique, des critiques boudeuses et une sortie éclipsée, entre autre, par le triomphe de Star Wars en 1977, Sorcerer est ressorti en salle à travers le monde : l’occasion, pour le réalisateur de L’Exorciste et de French Connection de raconter la périlleuse odyssée de ce qu’il considère aujourd’hui comme son chef-d’œuvre.

 


Vendredi 24 janvier à 21h

Sans un bruit

 

de John Krasinski

Interdit aux moins de 12 ans

Thriller fantastique | Etas-Unis | 1h30 | 2018 | VOST

Avec Emily Blunt, John Krasinski, Millicent Simmonds

Une famille tente de survivre sous la menace de mystérieuses créatures qui attaquent au moindre bruit. S’ils vous entendent, il est déjà trop tard.

« Il n’y a rien à jeter dans ce « family movie » bourré de trouvailles et d’astuces purement cinématographiques. Krasinski met nos nerfs à rude épreuve. » Le Figaro

« Lorgnant résolument du côté de Signes de M. Night Shyamalan, John Krasinski évoque la manière dont on peut parfois protéger (mal) ses proches. Mais il multiplie surtout les séquences de tension extrême, transformant ce thriller futé en véritable expérience sensorielle sacrément angoissante.  »  La Voix du Nord

« Son silence est d’or. Et laisse muet d’admiration. »  Le Point

« Une véritable bonne surprise pour le film d’horreur. »  Positif

« Un thriller fantastico-horrifique à couper le souffle et une chronique touchante des peurs qui hantent une famille. D’une maîtrise impressionnante. » Cinéma Teaser

 

 


Vendredi 7 février à 21h

APOCALYPSE NOW Final Cut

 

de Francis Coppola

Drame | Etats-Unis | 2019 | 3h01 | VOST

Avec Martin Sheen, Frederic Forrest, Robert Duvall et Marlon Brando  

 

Cloîtré dans une chambre d’hôtel de Saïgon, le jeune capitaine Willard, mal rasé et imbibé d’alcool, est sorti de sa prostration par une convocation de l’état-major américain. Le général Corman lui confie une mission qui doit rester secrète : éliminer le colonel Kurtz, un militaire aux méthodes quelque peu expéditives et qui sévit au-delà de la frontière cambodgienne.

« Coppola s’affirme comme un cinéaste de la démesure. Nul mieux que lui ne pouvait nous faire sentir toute la complexité d’un conflit lui-même démesuré ». Positif

« On n’y trouve jamais le temps long, et l’on se dit que c’est un film que sans doute personne ne pourrait plus faire aujourd’hui. » Les Echos

« Les moyens exceptionnels et la puissance de sa mise en scène permettent à Coppola de transcender le spectacle de la guerre pour en faire une sorte de fête tragique et monstrueuse » Le Monde

« C’est toujours magistral, aussi fou, entre voyage halluciné et quête initiatique. Un chef d’œuvre. » Le Journal du Dimanche

« Pour Francis Coppola, ça y est : son opus magnum est enfin achevé. Mais pour nous, le trip continue » Première

 

 


Vendredi 6 mars à 21h

Certains l’aiment chaud
(Some Like it Hot)

 

de Billy Wilder

Comédie | Etats-Unis | 1959 | 2h01 | VOST

Avec Marilyn Monroe, Tony Curtis, Jack Lemmon

 

 Deux musiciens de jazz au chômage, mêlés involontairement à un règlement de comptes entre gangsters, se transforment en musiciennes pour leur échapper. Ils partent en Floride avec un orchestre féminin. Ils tombent illico amoureux d’une ravissante et blonde créature, Alouette, qui veut épouser un milliardaire. « Quand je suis très heureux je fais des tragédies, quand je suis déprimé je fais des comédies. Pour Certains l’aiment chaud j’étais très déprimé, suicidaire. » Toujours avec ce sens de la formule, Billy Wilder masque à demi-mot la fierté qu’il éprouve pour ce film devenu un classique. Porté par l’accueil enthousiaste du public, en pleine possession de ses moyens et encore très inspiré, il débute avec Certains l’aiment chaud une série de comédies très personnelles, cyniques, amères et sombres à travers lesquelles il règlera ses comptes avec la société et ses contemporains. Son prochain film sera La Garçonnière (1960), autre chef d’œuvre. 


Vendredi 13 mars à 21h

La Ronde

 

de Max Ophüls

Comédie | France | 1950 | 1h37

Avec Anton Walbrook, Simone Signoret, Serge Reggiani, Simone Simon, Gérard Philippe, Daniel Gélin, Danielle Darrieux, Odette Joyeux…

 

 Un narrateur, le « meneur de jeu », présente une série d’histoires tournant autour de rencontres amoureuses ou « galantes ». La « ronde » passe de la prostituée au soldat, du soldat à la femme de chambre, de la femme de chambre au fils de famille, et ainsi de suite jusqu’à ce que le cercle soit bouclé…

 

La Ronde appartient à la tradition des films à sketches, mais Max Ophüls renouvelle ce genre par le choix d’une structure quasi abstraite très ambitieuse, notamment par le rôle polymorphe donné au meneur de jeu. Avec ses décors de théâtre, ses allusions aux lois du spectacle, à la censure et aux péripéties du hasard que le meneur de jeu élude avec désinvolture, cette œuvre relève autant de l’expérience esthétique que d’une étude morale de l’amour et des hypocrisies, des faiblesses et des lâchetés du genre humain face au sexe et aux sentiments.Revenu en France après un périple américain qui ne donna rien de moins, entre autres, que Lettre d’une inconnue, Max Ophuls commence en 1950 une série de films impressionnants de beauté tragi-comique (Le Plaisir, Madame de…, Lola Montès) dont le premier, La Ronde, réunit un nombre de tableaux et d’acteurs non moins impressionnants. Tirés d’une pièce de Schnitzler à mi-chemin entre les Caractères de La Bruyère et le théâtre de boulevard fin de siècle, les dix tableaux de La Ronde mettent en scène la rencontre, la séduction, l’acte sexuel (détourné) et la séparation de dix couples différents, reliés par un personnage flottant et un motif simple : le plaisir infini de l’amour mêlé à son désenchantement.

« Roi de la mise en espace, le cinéaste calque ses virevoltants mouvements de caméra sur les volutes musicales du compositeur Oscar Straus, et roi de la mise en abyme, il désigne clairement le film comme un film dès le départ. Le spectacle est initié, commenté, habité, dirigé par un marionnettiste incarné par le malicieux Anton Walbrook, qui guide et côtoie les personnages, participant même parfois à l’action. Un véritable chef d’œuvre. »  Les Inrockuptibles 

 


Chers amis,

J’espère que vous allez bien…

Nous avons attendu longtemps avant de prendre une décision à propos de la 33ème édition du Festival du Court Métrage de Vélizy-Villacoublay qui devait se dérouler les 24 et 25 avril prochains.

Les séances scolaires du Festival ont été remplacées par un festival numérique.

Pour nos compétitions nationales, nous avions envisagé de faire la même chose. Merci à l’Agence du Court Métrage et à beaucoup de productions pour avoir répondu favorablement à ce projet.

En plus de certains problèmes techniques que ce choix aurait entraînés, j’ai décidé d’annuler cette solution numérique : comme vous le savez, un festival c’est une salle, un public, un jury, les cinéastes, producteurs et productrices, comédiens et comédiennes présents, une équipe sur le terrain, un vote, etc…

Après avoir regardé l’intervention du président de la République, la direction du théâtre de l’Onde (où se déroule avec succès notre festival chaque année) annule tous les spectacles jusqu’à la fin de sa saison.

En conséquence, ne pouvant non plus le reporter à la rentrée, l’édition 2020 est annulée : la prochaine édition aura lieu les 2 et 3 avril 2021 avec les mêmes films retenus cette année.

Cette décision me paraît la plus raisonnable et la plus juste vis à vis des films que nous souhaitons faire découvrir au public dans de bonnes conditions.

Quant à nos séances salle Raimu, elle se sont terminées le vendredi 13 mars dernier.

Je ne manquerai pas de vous tenir informés pour la suite, notamment pour vos abonnements qui restaient valables jusqu’à juin 2020.

Portez vous bien.

Bien à vous,

 

Didier Albessart
Président du Ciné-Club de Vélizy-Villacoublay
Directeur du Festival du Court Métrage de Vélizy-Villacoublay

 


Vendredi 3 avril à 21h

Parasite

de Joon-ho Bong

Thriller | Corée du Sud | 2019 | 2h12 | VOST

Avec Kang-Ho Song, Woo-sik Choi, Park So-Dam

Palme d’Or du Festival de Cannes 2019

Toute la famille de Ki-taek est au chômage, et s’intéresse fortement au train de vie de la richissime famille Park. Un jour, leur fils réussit à se faire recommander pour donner des cours particuliers d’anglais chez les Park. C’est le début d’un engrenage incontrôlable, dont personne ne sortira véritablement indemne…

 

« Une revanche de classe, à la fois burlesque et effrayante que le cinéaste réalise d’autant plus brillamment qu’il sait à la fois filmer le surprenant, l’inattendu, l’explosif, le calme et l’interrogatif. »  Positif

« Bong Joon-ho revient au thriller explosif et en Corée pour une nouvelle satire politique et sociale imparable. Drôle, violent, baroque, maîtrisé : une Palme d’Or imparable. »  Première

 


33ème Festival du Court Métrage de Vélizy

(En raison de l’actualité, le Festival est annulé)

Vendredi 24 avril à 20h30

COMPÉTITION NATIONALE DE PREMIÈRES ŒUVRES

| 10 films français en compétition pour le Prix du Public

| Comédie, drame, fantastique, animation, insolite et action

| Projection en présence des cinéastes

| Palmarès communiqué en fin de soirée

| Durée : 2h30

 

Samedi 25 avril à 20h30
COMPÉTITION NATIONALE

| 12 films français en compétition pour le Prix du Public et le Prix du Jury 

| Comédie, drame, fantastique, animation, insolite et action

| Projection en présence des cinéastes et d’un jury de professionnels  

| Palmarès communiqué en fin de soirée

| Durée : 3h30

 

Tarifs uniques : vendredi et samedi soir : 10 € / forfait 2 soirées : 15 €

 

Réservations conseillées à l’Onde :

01 78 74 38 60

labilletterie@londe.fr


Vendredi 15 mai à 21h

Grenn Book – Sur les routes du sud

de Peter Farrelli | Drame | Etats-Unis | 2019 | 2h10 | VOST

Avec Viggo Mortensen, Mahershala Ali, Linda Cardellini

 

En 1962, alors que règne la ségrégation, Tony Lip, un videur italo-américain du Bronx, est engagé pour conduire et protéger le Dr Don Shirley, un pianiste noir de renommée mondiale, lors d’une tournée de concerts. Durant leur périple de Manhattan jusqu’au Sud profond, ils s’appuient sur le Green Book pour dénicher les établissements accueillant les personnes de couleur, où l’on ne refusera pas de servir Shirley et où il ne sera ni humilié ni maltraité.

 

« Le gag burlesque, habituel ressort des frères, laisse ici place à un comique de dialogue et de situation extrêmement raffiné, à double ou parfois triple entente, qui rappelle un peu le cinéma de Frank Capra. »  Les Inrockuptibles

« Dans ce road trip ponctué de bagarres, d’humiliations, de découvertes – et de musique –, Viggo Mortensen et Mahershala Ali composent des personnages inoubliables. Formidable. »  Le Nouvel Observateur

« Ce récit d’amitié si simple et si touchant, cette Americana rêvée des marges et des communautés amies, ce bruissement de douceur et de mélancolie l’inscrivent dans la pleine continuité d’une œuvre que l’on pensait endormie depuis trop longtemps. »

 


Vendredi 29 mai à 21h

Edmond

d’Alexis Michalik | France | Comédie | 2018 | 1h53

Avec Thomas Solivérès, Olivier Gourmet, Mathilde Seigner

 

Décembre 1897, Paris. Edmond Rostand n’a pas encore trente ans mais déjà deux enfants et beaucoup d’angoisses. Il n’a rien écrit depuis deux ans. En désespoir de cause, il propose au grand Constant Coquelin une pièce nouvelle, une comédie héroïque, en vers, pour les fêtes. Seul souci : elle n’est pas encore écrite. Faisant fi des caprices des actrices, des exigences de ses producteurs corses, de la jalousie de sa femme, des histoires de cœur de son meilleur ami et du manque d’enthousiasme de l’ensemble de son entourage, Edmond se met à écrire cette pièce à laquelle personne ne croit. Pour l’instant, il n’a que le titre : « Cyrano de Bergerac ».

 

« Alexis Michalik a réalisé une œuvre de cinéma : flamboyante, aérienne, certes sacrément cabotine mais tellement jubilatoire. »  La Voix du Nord

« Un film qui a le charme malicieux d’une boîte à musique. »  Le Figaro « Adaptation de sa pièce qui triomphe partout, ce premier film virevoltant confirme l’immense talent d’Alexis Michalik. Du grand cinéma populaire. »  La Croix  « Un tourbillon romanesque, épique et énergisant » Le JDD

 


Vendredi 5 juin à 20h30

Laurence d’Arabie

de David Lean – Version restaurée

Aventures | Etats-Unis et Grande-Bretagne | 1962 | 3h36 | VOST

Avec Peter O’Toole, Alec Guinness, Omar Sharif

En 1916, le jeune officier britannique T. E. Lawrence est chargé d’enquêter sur les révoltes arabes contre l’occupant turc. Celui qu’on appellera plus tard « Lawrence d’Arabie » se range alors du côté des insurgés et, dans les dunes éternelles du désert, organise une guérilla. Personnage brillant mais controversé, il va mener des batailles aux côtés de ses alliés et changer la face d’un empire…

 

« Un chef-d’œuvre »  Positif

« Du très grand spectacle qui égale Spartacus ou Barrabas »  Télérama

« Il faut une bonne dose de frivolité et de manque d’imagination pour s’ennuyer à la projection d’un tel film. »  Cahiers du Cinéma

« Un très somptueux « western des sables »  La Croix

« Des personnages fermement dessinés. Du mouvement, du « suspense ». Une réalisation fastueuse. Nous sommes comblés.  Le Monde

 


Vendredi 19 juin à 21h :

La La Land                                   

de Damien Chazelle

Comédie musicale | Etats-Unis | 2h08 | VOST

Avec Ryan Gosling, Emma Stone, John Legend

Au cœur de Los Angeles, une actrice en devenir prénommée Mia sert des cafés entre deux auditions. De son côté, Sebastian, passionné de jazz, joue du piano dans des clubs miteux pour assurer sa subsistance. Tous deux sont bien loin de la vie rêvée à laquelle ils aspirent…

 

« Une comédie musicale à contre-courant de toutes les tendances actuelles. Un pari un peu fou made in Hollywood et savamment dosé de nostalgie euphorisante. »  Transfuge

« Merveilleux hommage à l’âge d’or de la comédie musicale hollywoodienne, « La La Land » est aussi une passionnante méditation sur la solitude de l’artiste et son difficile rapport au monde réel. »  Positif

« Derrière les numéros de claquettes et les chansons cool se cache une réflexion vraiment déchirante sur la vie et sur la nature même du spectacle. » Ouest France

« Damien Chazelle va faire une fête pour les yeux et pour le cœur, un hommage enchanteur aux grandes heures disparues de la comédie musicale. »  Marianne