MARS 2024 : salle l’atelier à l’Onde, 8 bis avenue Louis Breguet 78140 Vélizy
AVRIL 2024 :
nouvelle salle Raimu du centre Maurice Ravel, 25 avenue Louis Breguet 78140 Vélizy
Parking gratuit devant l’établissement
vendredi 22 mars à 20h30 à l’Onde
Hair
Comédie musicale – Etats-Unis 1979 – 2h – VOST
Réalisation : Miloš Forman
Scénario : Michael Weller d’après la comédie musicale de Jerome Ragni et James Rado
Musique : Galt MacDermot / Costumes : Ann Roth / Chorégraphie : Twyla Tharp
Avec John Savage, Treat Williams , Beverly D’Angelo, Annie Golden, Donnie Dacus, Dorsey Wright Cheryl Barnes, Richard Bright, Nicholas Ray
Le jeune et naïf Claude, croyant en Dieu, fils d’un fermier patriote de province, visite New York avant d’être incorporé comme militaire et partir pour la guerre du Vietnam. En chemin, il se retrouve au milieu d’un happening de hippies dans Central Park et tombe immédiatement sous le charme de la belle Sheila…
Plus qu’un film politique, Hair est aussi et avant tout une magnifique comédie musicale que l’on peut voir et revoir pour la qualité de ses chansons et de ses chorégraphies, que tout le monde connaît et reprends en cœur. Alors désormais, « Let the sun shine in » et courrez voir ou revoir Hair : en ces temps troublés où les brutes font loi, un film idéal pour se remonter le moral. Jubilatoire et indémodable.
vendredi 29 mars à 20h30, à l’Onde
Le Bal
de Ettore Scola
Italie / France / Algérie – 1983 – 1h52 – VOST
Scénario : adaptation et captation de la pièce collective du Théâtre du Campagnol dirigée par Jean-Claude Penchenat, Ruggero Maccari, Furio Scarpelli et Ettore Scola
Musique : Vladimir Cosma
Récit composé de sept rétrospectives qui décrivent chacune une période du 20ème siècle
Cinquante ans de danse de salon en France, depuis les années 1930 : le Front populaire, la Guerre, l’arrivée du jazz et du rock, Mai 68, le disco… Les couples silencieux se font et se défont au gré de l’histoire et de la musique. Toute l’action se déroule à l’intérieur d’un dancing semi-souterrain à Paris… Magie de l’expression corporelle, servie par une exceptionnelle direction artistique où rien n’est laissé au hasard. Du grand art.
vendredi 26 avril à 20h30, nouvelle salle Raimu
Hinterland
de Stefan Ruzowitzky
Thriller historique / 2022 / 1h38 / VOST
Autriche, Belgique, Luxembourg et allemagne
Scénario : Stefan Ruzowitzky, Hanno Pinter et Robert Buchschwenter, d’après une idée de Hanno Pinter
Musique : Kyan Bayani
Photographie : Benedict Neuenfels
Avec Murathan Muslu, Liv Lisa Fries, Max von der Groeben
Vienne, 1920. Après l’effondrement de l’empire austro-hongrois, Peter Perg, soldat de la Grande Guerre revient de captivité. Tout a changé dans sa ville, où le chômage et les pulsions nationalistes prennent chaque jour un peu plus d’ampleur. Il se sent étranger chez lui. Soudainement, plusieurs vétérans sont brutalement assassinés…
« Un polar historique qui joue avec les codes du film fantastique. Impressionnant. » Le Figaro.
« C’est une œuvre visuellement somptueuse, hommage à l’Expressionnisme allemand, qui magnifie le Vienne des années 1920. »
20 Minutes.
« Une immersion totale dans un chaos mental, politique et social. Bluffant. » Cinéma Teaser
« Le résultat s’avère des plus singuliers, entre classicisme et modernisme, donnant une forme très originale à ce récit plein de suspense. »
Le Parisien
« Un geste artistique audacieux, les rues de Vienne recréées en numérique sur fond vert, dans une ambiance évoquant le cinéma expressionniste de ces années-là et créant une atmosphère tout à la fois dérangeante et étouffante, écrin parfait à son récit. » Première
« On prend un certain plaisir à suivre cette traque d’une noirceur assez ludique, dans une ville de guingois, aux décors enluminés, entre une peinture de Rembrandt et une bande dessinée de Tardi. » Télérama
vendredi 3 mai à 20h30
Le Prisonnier d’Alcatraz
de John Frankenheimer
3.Biopic / Drame / Etats-Unis 1962 / 2h27 / VOST
Scénario : Guy Trosper
Musique : Elmer Bernstein
Adapté du livre de Thomas E. Gaddis, lui-même basé sur la vie de Robert Stroud, surnommé « L’homme aux canaris d’Alcatraz »
Avec Burt Lancaster, Karl Malden, Thelma Ritter, Neville Brand, Betty Field et Telly Savalas
Robert Stroud a été incarcéré pour un meurtre commis en Alaska. Il est emprisonné dans un quartier très isolé du pénitencier fédéral de Leavenworth au Kansas. Pour tromper l’ennui, il apprivoise un petit moineau, puis agrandit sa « collection » avec des canaris. Il va trouver sa rédemption en devenant un ornithologue réputé…
Le Prisonnier d’Alcatraz est un film passionnant et élégant, magnifié par le très beau noir et blanc de Burnett Guffey. Il s’agit probablement d’un des plus beaux films de prison, et incontestablement d’une des productions les plus originales du genre.
La performance de Burt Lancaster a provoqué une vague de sympathie envers Robert Stroud chez le public américain. Par exemple, des pétitions furent disponibles dans différents cinémas pour obtenir sa libération. Il est devenu l’un des détenus les plus célèbres d’Alcatraz avec Al Capone. Il décède un an après la sortie du film, à 73 ans.
Mostra de Venise 1962 : Coupe Volpi pour la meilleure interprétation masculine pour Burt Lancaster
British Academy Film Awards 1963 : British Academy Film Award du meilleur acteur étranger pour Burt Lancaster
vendredi 24 mai à 20h30
LIMBO
de Soi Cheang
Thriller / Hong-Kong / 2023 / 1h58 VOST
Scénario : Au Kin-yee
Musique : Kenji Kawai
Photographie : Cheng Siu-keung
Avec Gordon Lam, Mason Lee et Cya Liu
Dans les bas-fonds de Hong-Kong, un flic vétéran et son jeune supérieur font équipe pour arrêter un tueur qui s’attaque aux femmes, laissant leur main coupée pour seule signature. Quand toutes leurs pistes s’essoufflent, ils décident d’utiliser une jeune délinquante comme appât.
Une véritable descente aux enfers dans les zones les plus pauvres de Hong Kong. Les deux policiers partent à la rencontre des oubliés de la métropole asiatique, croisant sur leur chemin clandestin, prostituées et toxicomanes. Alors que les victimes s’empilent, une course contre la montre commence, culminant dans une scène finale dantesque, laissant le spectateur à bout de souffle… Le meilleur polar sorti en 2023. Inoubliable et virtuose.
« Pour résumer, Limbo fait passer Seven pour Les Sous-doués en vacances, et laisse au spectateur le goût paradoxal d’avoir à la fois frôlé les replis de l’âme humaine et pris plaisir à un thriller vertigineux. » Le Parisien
« Sublimé par une magnifique photo noir et blanc, tantôt expressionniste, tantôt cyber-punk, voire carrément rétro-futuriste, transcendé par d’incroyables mouvements de caméra quasi démiurgiques, ce grand thriller pré-apocalyptique parvient avec grâce et facilité déconcertante à cocher toutes les cases du chef-d’œuvre ». L’Ecran Fantastique
« Expressionniste, violent et stupéfiant. » La Voix du Nord
« L’équilibre entre le thriller et l’aspect social est quasi-parfait et la réflexion sur le mal de vivre dans un monde sans pitié est savamment décliné. » Sud-Ouest
Attention : certaines images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
vendredi 31 mai et samedi 1er juin
à 20h30 à l’Onde
36ème Festival du Court Métrage de Vélizy
« Cette édition 2024 propose deux soirées de compétition nationale et trois séances réservées aux enfants des écoles primaires de Vélizy-Villacoublay. Il s’agit de présenter un grand éclectisme de sujets et de styles tout en souhaitant surprendre le public, mais aussi l’émouvoir ou le faire rire.
La première compétition accueille une sélection de premières œuvres en compétition pour le prix du Public, la deuxième s’ouvre à des cinéastes plus confirmés, en compétition pour le prix du Public et le prix du Jury.
De par le nombre important de films qui concourent chaque année, la présence des cinéastes, comédiennes, comédiens, productrices et producteurs, et la forte affluence lors des projections, le Festival du Court Métrage de Vélizy est devenu, grâce à toute l’équipe du Ciné-Club de Vélizy et celle de l’Onde, un rendez-vous cinématographique majeur de la région Ile-de-France. »
Didier Albessart
Président du Ciné-Club de Vélizy-Villacoublay
Directeur du Festival du Court Métrage de Vélizy-Villacoublay
Tarifs uniques :
vendredi 31 mai et samedi 1er juin à 20h30 à l’Onde
La soirée : 10 € / forfait 2 soirées : 17 €
Réservations conseillées à l’Onde : 01 78 74 38 60 / labilletterie@londe.fr
vendredi 7 juin à 20h30
Chien de la Casse
de Jean-Baptiste Durand
Comédie dramatique / France / 2023 / 1h33
Avec Anthony Bajon, Raphaël Quenard, Galatea Bellugi
Scénario : Jean-Baptiste Durand
Collaboration au scénario : Nicolas Fleureau et Emma Benestan
Musique : Delphine Malausséna et Hugo Rossi
Photographie : Benoît Jaoul
Dog et Mirales sont amis d’enfance. Ils vivent dans un petit village du sud de la France et passent la majeure partie de leurs journées à traîner dans les rues. Pour tuer le temps, Mirales a pris l’habitude de taquiner Dog plus que de raison. Leur amitié va être mise à mal par l’arrivée au village d’une jeune fille, Elsa, avec qui Dog va vivre une histoire d’amour. Rongé par la jalousie, Mirales va devoir se défaire de son passé pour pouvoir grandir, et trouver sa place.
« L’impeccable duo formé par Anthony Bajon et surtout, Raphaël Quenard […]. Héritiers des plus grands dans une fiction qui elle-même renoue avec une certaine tradition du cinéma français des années 70 et 80 – l’étude de mœurs, acide, perçante, sans pitié, mais avec un cœur et une âme immense. Le genre de film dont on avait fini par ne plus attendre le retour. » Libération
« Ce premier long métrage est un bijou insolent et émouvant. Avec deux formidables acteurs : Anthony Bajon et Raphaël Quenard. » Bande à part
« D’emblée, Chien de la casse impose sa stylisation, qui l’inscrit dans une généalogie remontant à Pagnol, Giono, voire au Renoir de Toni. […] Durand fait ressortir les accents et les scansions de la parole, inventant une langue qui, tout en s’appuyant sur les expressions de l’époque, développe sa propre poésie. » Cahiers du Cinéma
« Chien de la casse acte la naissance d’un cinéaste. Durand a moins de trente ans. Il est bourré de talent. Vivement son deuxième long-métrage. » Le Figaro
« Un premier film insolent et gracieux. » Télérama
vendredi 14 juin à 20h30
Winter Break
d’Alexander Payne
Comédie dramatique / Etats-Unis / 2023 / 2h13
Avec Paul Giamatti, Da’vine Joy Randolph, Dominic Sess
Scénario : David Hemingson
Musique : Mark Orton
« D’une certaine façon, je fais des films se déroulant dans les années 70 depuis toujours. Mes films s’attachent aux qualités humaines, pas à un quelconque dispositif narratif, à des conventions ou à un artifice. J’aime les personnages et les histoires qui se rapprochent de la vraie vie plus que de la vie au cinéma. » Alexander Payne
Hiver 1970 : M. Hunham est professeur d’histoire ancienne dans un prestigieux lycée d’enseignement privé pour garçons de la Nouvelle-Angleterre. Pédant et bourru, il n’est apprécié ni de ses élèves ni de ses collègues. Alors que Noël approche, M. Hunham est prié de rester sur le campus pour surveiller la poignée de pensionnaires consignés sur place. Il n’en restera bientôt qu’un : Angus, un élève de 1ere aussi doué qu’insubordonné.
« Film sucré-salé, doux-amer, cette balade en tonalité mineure se termine avec le sourire et une boule dans la gorge… Ça fait du bien ! » L’Obs
« Un cocon de douceur qui fait du bien dans cette actualité. » La Croix
« Le film est spécial, miraculeux, unique. C’est comme si, pour rester vivant, le cinéma devait retourner cinquante ans en arrière. » Le Figaro
« Une œuvre délicate, subtile, intelligente, drôle, et bien consolante. » Le Monde
Ciné–Club de Vélizy (depuis 1972)
Adhésion 2023 / 2024 donnant droit à une entrée au choix :
Vélizien : 6 €. Non Vélizien : 7,50 € puis pour tous entrée adhérent : 5 €
Possibilités d’abonnement :
3 séances : 13 € / 5 séances : 20,50 € Forfait Saison : 45 € (incluant le Festival)
Règlement : chèque, espèces ou CB.
MARS 2024 / séances à l’Onde
à partir d’AVRIL 2024 / séances nouvelle salle Raimu (Centre M. Ravel), sauf Festival du Court Métrage (Grande salle de l’Onde)
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