Prochaines séances

Les séances ont lieu à la salle Raimu du Centre Maurice Ravel, 25 avenue Louis Breguet, 78140 Vélizy-Villacoublay

 


vendredi 7 et samedi 8 avril 2023

à 20h30 à l’Onde

35ème Festival du Court Métrage de Vélizy

Organisé et animé par le Ciné-Club de Vélizy-Villacoublay

Produit par l’Onde – Théâtre Centre d’art de Vélizy-Villacoublay

 

 

 

Vendredi 7 avril :
Ciné-Conférence par Didier Albessart à propos du programme ETAIX ET SES PAIRS 

Un programme de 5 courts métrages burlesques :

    |  En pleine forme – de Pierre Étaix (1971-2010)

    |  Charlot fait une cure (The Cure) – de Charles Chaplin (1917)

    |  Rupture – de Pierre Étaix (1961)

    |  La maison démontable (One Week) – de Buster Keaton (1920)

    |  Heureux anniversaire – de Pierre Étaix (1962)

Durée totale : 2h • Tout public

Programme proposé par L’Agence du court métrage.
Avec le soutien du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) • www.cnc.fr, de l’Association Française des Cinémas d’Art et d’Essai (AFCAE) • www.art-et-essai.org, de l’Agence pour le Développement Régional du Cinéma (ADRC) • www.adrc-asso.org
en collaboration avec Carlotta Films • www.carlottavod.com, Lobster Films • www.lobsterfilms.com

L’occasion de mettre en avant les films courts de Pierre Etaix, accompagnés (c’était son souhait) par les films de deux maîtres du burlesque américain qui l’ont inspiré : Charles Chaplin et Buster Keaton. Un programme tout public détonnant où il est question de santé, d’embouteillages et d’amour. Un vrai régal.

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Samedi 8 avril : Compétition Nationale

Une nouvelle sélection nationale présente les meilleurs films du moment (comédie, fantastique, drame, animation), en compétition pour le Prix du Public, le Prix du 35ème Festival remis par le Ciné Club de Vélizy et le Prix du Jury présidé par Éva DARLAN.

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Trois autres séances sont réservées aux enfants des écoles primaires de Vélizy-Villacoublay.

A l’occasion de cette 35ème édition, plusieurs surprises au programme, dont un atelier de tournage de film d’animation dans le hall de l’Onde !

 

Tarifs uniques :

vendredi 7 avril et samedi 8 avril à 20h30 à l’Onde : 10 € / forfait 2 soirées : 15 €

Réservations conseillées à l’Onde : 01 78 74 38 60 / labilletterie@londe.fr

 


vendredi 12 mai 2023 à 21h

Barry Lyndon

de Stanley Kubrick

Fresque historique / Grande-Bretagne et Etats-Unis / 1976 / 3h07 / VOST

Avec Ryan O’Neal, Marisa Berenson, Patrick Magee

Au XVIIIe siècle en Irlande, à la mort de son père, le jeune Redmond Barry ambitionne de monter dans l’échelle sociale. Il élimine en duel son rival, un officier britannique amoureux de sa cousine mais est ensuite contraint à l’exil. Il s’engage dans l’armée britannique et part combattre sur le continent européen. Il déserte bientôt et rejoint l’armée prussienne des soldats de Frederic II afin d’échapper à la peine de mort. Envoyé en mission, il doit espionner un noble joueur, mène un double-jeu et se retrouve sous la protection de ce dernier. Introduit dans la haute société européenne, il parvient à devenir l’amant d’une riche et magnifique jeune femme, Lady Lyndon. Prenant connaissance de l’adultère, son vieil époux sombre dans la dépression et meurt de dépit. Redmond Barry épouse Lady Lyndon et devient Barry Lyndon…

Si 2001, l’Odyssée de l’espace avait le mérite de donner à la Science-Fiction cinématographique les lettres de noblesse métaphysique qu’elle méritait depuis au moins Metropolis, Barry Lyndon reste le plus beau chef-d’œuvre de Stanley Kubrick. C’est son film le plus touchant, le plus parfait, le plus riche et surtout le plus humain. Humain, oui, dans la caractérisation de ses personnages, humain dans sa photographie en lumière naturelle, humain dans son récit d’apprentissage digne des plus grandes œuvres littéraires (on flirte parfois avec Stendhal). A l’époque de la sortie du film, tout le monde s’y est trompé, et beaucoup s’y trompe encore. On a qualifié Barry Lyndon d’œuvre cynique alors qu’elle est profondément humaniste et surtout on s’est focalisé sur des détails aussi triviaux (tout en étant essentiels) que la performance du Di Caprio de l’époque, Ryan O’Neal, ou l’utilisation de la pellicule extra-sensible de la NASA pour les scènes éclairées seulement à la bougie.

Bande annonce :

 


vendredi 2 juin 2023 à 21h

Un monde parfait

Affiche indisponible – tous droits réservés

de Clint Eastwood

Drame policier / Etats-Unis / 1993 / 2h17 / VOST

Avec Kevin Costner, Clint Eastwood, Laura Dern

Texas, 1963. La cavale d’un dangereux voleur récidiviste et de son otage, un jeune témoin de Jehovah qui, le temps de cette folle équipée, va devenir son ami.

Avec Un Monde Parfait, Clint Eastwood pose son regard sur un duo singulier : un bandit en pleine cavale et son otage, un gamin de 8 ans. Poursuivis par des autorités aussi ridicules qu’incompétentes, ces deux gars s’apprivoisent peu à peu. Se tisse entre eux une amitié forte et belle, qui les libère. Ce qui aurait pu être une simple course-poursuite se transforme alors en une aventure humaine bouleversante. C’est là toute la force de ce film.

Cette œuvre lumineuse, dans la grande tradition picturale et littéraire de la culture américaine, (on pense au peintre Hooper, mais aussi à l’auteur Faulkner) reste aujourd’hui l’un des incontournables du père Eastwood, qui allait retrouver ce charme inhérent aux grands espaces américains dans le mélo Sur la route de Madison deux ans plus tard.

Bande annonce :

 


vendredi 16 juin 2023 à 21h

Le Coup de l’Escalier

de Robert Wise

Thriller / 1959 / Etats-Unis / 1h36 / VOST

avec Harry Belafonte, Robert Ryan et Shelley Winters

Ancien flic condamné pour corruption, Dave Burke prépare le cambriolage d’une banque. En quête de complices, il fait appel à deux hommes de main, Slater, vétéran de la Seconde Guerre Mondiale, blanc et raciste, et Ingram, chanteur noir criblé de dettes. Le casse, pourtant bien planifié, tourne très vite au cauchemar, envenimé par la haine que Slater ressent pour son équipier…

« Le Coup de l’escalier » est considéré, avec « L’Ultime Razzia » de Stanley Kubrick, comme le chant du cygne du film noir. Robert Wise, considéré injustement comme un cinéaste sans grande personnalité, réalise pourtant ici une œuvre majeure à redécouvrir.

On reconnaît bien dans « Le Coup de l’escalier » la patte désabusée d’Abraham Polonsky, auteur du scénario bien que non crédité au générique à cause de sa mise au ban par le Comité des Activités Anti-américaines au début des années 50 : le titre original (Odds Against Tomorrow) traduit d’ailleurs bien mieux l’absence de perspective offerte aux personnages que ce titre français assez incongru…

Bande annonce :

 

 


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